Roucoulez, y'a rien à voir
Alors que pas mal de mes lecteurs -et pas seulement les nains à lunettes- semblent s'intéresser au pataquès bombino-politique qui a occupé mes patrons pas moins de deux jours de suite avant de retomber avec le même souffle que les missiles russes, et à quelques billets à peine de la saison 3 du blog -bientôt sur vos écrans-, il est temps pour moi de faire une petite mise au point.
1° Ceci n'est pas un "blog de journaliste", n'en déplaise à Thomas Baumgartner de France Culture, que je remercie au passage pour les nouveaux visiteurs qu'il m'a apporté. Je ne sais pas trop ce que c'est en fait, au départ c'était plutôt pour donner des nouvelles à la famille et aux copains, j'ai rajouté le nom de mes patrons occasionnels pour leur dire où ils pourraient me lire, et puis pour me la péter un peu aussi. Mais je ne cherche pas à donner un point de vue de journaliste bridé par ses rédactions, c'est juste que ça m'amuse d'écrire ici.
2° Ce n'est pas non plus un blog culinaire consacré aux diverses manières d'accomoder les pommes de terre, mais merci à Everland tout de même pour les nouveaux visiteurs qu'il m'a apporté.
3° Petite leçon de journalisme : nous sommes en août, rien ne se passe, pas d'attentat en vue, les Coréens commencent à sentir le moisi du côté de Kandahar, les tremblements de terre néo-zélandais ne donnent aucun tsunami, Cécilia Sarkozy se dore la pilule avec Chouchou à VIPtown au lieu de faire une fugue avec un bellâtre à New York. Que faire, que dire ? Les journaux, les télés, les radios sont bien désemparés. Lorsque tout à coup un missile russe tombe en Géorgie ! Coup de théâtre ! Il n'explose pas mais il aurait pu ! Il y a des séparatistes rebelles dans le coup ! Russie contre Géorgie, le pot de fer contre la bouteille de coca, car oui, les Américains aussi sont derrière ! Tout rédacteur en chef digne de se nom se doit de réagir immédiatement, et même s'il ne comprend rien à ce qui se passe, il commande des papiers à tour de bras. Alors qu'en fait, cet incident, dont on ne sait encore trop rien - et on n'en saura jamais grand-chose- n'est que le dernier pet d'une longue série nauséabonde, qui ne va rien changer à la situation. Mais ça, vous avez beau l'expliquer, les chefs ne le comprennent qu'au bout de deux jours, quand le prochain tsunami se pointe. Bon, moi, ça me fait du boulot, je ne me plains pas. Mais en fait, ça me fait royalement chier de bosser dessus, donc je ne vais surtout pas venir en parler ici. Vu qu'il y a des choses vachement plus importantes qui se passent en ce moment, comme le départ définitif d'une amie à moi ou l'arrivée en masse de touristes en short et tongues qui gênent dans le bus pour regarder les filles.
Conclusion : nous pouvons maintenant retourner aux Tbilissiennes et à leurs seins dont la beauté embellit la ville chaque jour que Wonderbra fait.
1° Ceci n'est pas un "blog de journaliste", n'en déplaise à Thomas Baumgartner de France Culture, que je remercie au passage pour les nouveaux visiteurs qu'il m'a apporté. Je ne sais pas trop ce que c'est en fait, au départ c'était plutôt pour donner des nouvelles à la famille et aux copains, j'ai rajouté le nom de mes patrons occasionnels pour leur dire où ils pourraient me lire, et puis pour me la péter un peu aussi. Mais je ne cherche pas à donner un point de vue de journaliste bridé par ses rédactions, c'est juste que ça m'amuse d'écrire ici.
2° Ce n'est pas non plus un blog culinaire consacré aux diverses manières d'accomoder les pommes de terre, mais merci à Everland tout de même pour les nouveaux visiteurs qu'il m'a apporté.
3° Petite leçon de journalisme : nous sommes en août, rien ne se passe, pas d'attentat en vue, les Coréens commencent à sentir le moisi du côté de Kandahar, les tremblements de terre néo-zélandais ne donnent aucun tsunami, Cécilia Sarkozy se dore la pilule avec Chouchou à VIPtown au lieu de faire une fugue avec un bellâtre à New York. Que faire, que dire ? Les journaux, les télés, les radios sont bien désemparés. Lorsque tout à coup un missile russe tombe en Géorgie ! Coup de théâtre ! Il n'explose pas mais il aurait pu ! Il y a des séparatistes rebelles dans le coup ! Russie contre Géorgie, le pot de fer contre la bouteille de coca, car oui, les Américains aussi sont derrière ! Tout rédacteur en chef digne de se nom se doit de réagir immédiatement, et même s'il ne comprend rien à ce qui se passe, il commande des papiers à tour de bras. Alors qu'en fait, cet incident, dont on ne sait encore trop rien - et on n'en saura jamais grand-chose- n'est que le dernier pet d'une longue série nauséabonde, qui ne va rien changer à la situation. Mais ça, vous avez beau l'expliquer, les chefs ne le comprennent qu'au bout de deux jours, quand le prochain tsunami se pointe. Bon, moi, ça me fait du boulot, je ne me plains pas. Mais en fait, ça me fait royalement chier de bosser dessus, donc je ne vais surtout pas venir en parler ici. Vu qu'il y a des choses vachement plus importantes qui se passent en ce moment, comme le départ définitif d'une amie à moi ou l'arrivée en masse de touristes en short et tongues qui gênent dans le bus pour regarder les filles.
Conclusion : nous pouvons maintenant retourner aux Tbilissiennes et à leurs seins dont la beauté embellit la ville chaque jour que Wonderbra fait.